Bibliographie et Articles

Bibliographie

Articles cités dans nos publications

Pierre Sauvanet, « L’ethnomusicologue et le philosophe : quand ils se rencontrent sur le phénomène « rythme » », Cahiers d’ethnomusicologie [En ligne], 10 | 1997, mis en ligne le 06 janvier 2012.

Anca Giurchescu, « Le danseur et le musicien, une connivence nécessaire », Cahiers d’ethnomusicologie [En ligne], 14 | 2001, mis en ligne le 10 janvier 2012.

Jacques Bouët, « Pulsations retrouvées. Les outils de la réalisation rythmique avant l’ère du métronome », Cahiers d’ethnomusicologie [En ligne], 10 | 1997, mis en ligne le 24 octobre 2012.

Extraits d’ouvrages cités dans nos publications : Edward T. Hall, Catherine Perrier, Claude-Henry Joubert, Maurice Martenot, Jacques Lecoq et Guy Maneveau


Articles ressources

Jacques Barathon,  « à propos de « pulsation »

Claire Gillie-Guilbert, « « Et la voix s’est faite chair… ». Naissance, essence, sens du geste vocal », Cahiers d’ethnomusicologie [En ligne], 14 | 2001, mis en ligne le 10 janvier 2012.

Ingrid Le Gargasson, « Matthew RAHAIM : Musicking bodies. Gesture and voice in Hindustani music », Cahiers d’ethnomusicologie [En ligne], 26 | 2013, mis en ligne le 20 février 2014.

Sophie Rousseau et Marie Françoise Bouchon « Pour une lecture contemporaine de l’Orchésographie ».

«Choréologue Benesh : un métier au cœur de la transmission des œuvres chorégraphiques» Éliane Mirzabekiantz et Romain Panassié, , La Revue du Conservatoire [En ligne], La revue du Conservatoire, Le septième numéro, Sources – Traditions – Inspirations.


“La danse tend bien à se stabiliser par la répétition. A plus forte raison en se sociabilisant. Mais les traits constants qu’une pratique habituelle et partagée lui impriment ne sont jamais qu’une part d’elle même. Ils n’empêchent pas qu’elle soit indéfiniment recréée. Elle change au cours de la vie d’un danseur, se renouvelle peu ou prou quand il se renouvelle, meurt quand il meurt. Qu’il la communique, elle revêt des aspects nouveaux. Qu’elle passe d’un milieu à un autre, elle devient une autre danse. La physiologie, les impulsions obscures de la vie organique et psychique profonde, l’affectivité, les automatismes lentement construits, les habitudes personnelles et sociales, l’imprévisible donnée du moment, jouent leur rôle, en même temps que l’intelligence et la maîtrise consciente, dans cet acte qui mobilise et unifie toutes les forces vives. Acte dont aucune analyse n’épuise la réalité complexe, et dont nous ne prenons par la seule intelligence une image claire qu’en l’appauvrissant, souvent même en le mutilant.”

Jean Michel Guilcher, Aspects et problèmes de la danse traditionnelle, revue trimestrielle de la Société d’ethnographie française.